L'éducation laïque: comment la valeur française le plus prisé a commencé

Loi sur l'enseignement primaire obligatoire du 28 mars 1882.pdf

Loi sur l'enseignement primaire obligatoir du 28 mars 1882

Cette source est l'ensemble des lois rédigées par Jules Ferry en 1882 introduisant l'éducation laïque. Jules Ferry était un avocat, un homme d’état, et un republicain modere. Il était très connu pour s'opposer au deuxième Empire. Mais, son oeuvre c’etait le mise en place d’une education laique, gratuit, et obligitoire pour tous les enfants. Avant que les lois de Jules Ferry, il était un système éducatif tres religieux (Cobberley). La révolution est née d'idéaux conflictuels au sein de la société. "Education might have served to temper this conflict and provide a minimum of common beliegs and ideals. Instead, it ... aggravated the conflict" (Zeldin, 1970). Pendant la primaire révolution, ils ont commencé à retirer les influences de l'église de l'éducation. Ils étaient prêts à tout se débarrasser de l'ancien système, à l'exception de l'idée d'éduquer les femmes. Napoléon a changé le système en augmentant le nombre d'écoles, le nombre d'enseignants et l'engagement des élèves. Tel était l'état du système éducatif au 19e siècle. Entrer Jules Ferry...

 

Les lois sont longues et pleines de jargon juridique, mais les principaux changements sont que la religion n'est plus enseignée dans les écoles, l'éducation est assurée pour tous les enfants, les parents sont principalement responsables de faire en sorte que leurs enfants soient éduqués. La création d'une commission scolaire locale, d'Écoles publiques ou privées, et de la condition de présence étaient nouveaux aussi. En raison de ces lois et du mouvement de la laïcité, la France a été la première société à embrasser le laïc qui s'est ensuite répandu dans le reste du monde. Bon nombre de nos pratiques pédagogiques actuelles ont leurs racines dans les lois Jules Ferry.

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A Jules Ferry

Après que Jules Ferry a présenté ses lois et qu'elles ont été mises en pratique, il subit les réactions négatives des communautés religieuses. Avant la révolution et la pratique ultérieure de la laïcité, l'Église catholique était enracinée dans la direction des institutions du pays. Plus précisément, les jésuites contrôlaient pleinement le système éducatif. "The petits séminaires and the diocesan colleges were the 'standard' Catholic schools to be found all over France....Both sorts of school were under the immediate control of the bishops and were usually staffed by the ordinary clergy of the diocese" (Zeldin, 62). Parce que les Jésuites contrôlaient pleinement l’Eglise Catholique, qui contrôlaient système éducatif, effectivement, les Jésuites contrôlaient le système éducatif. En réponse, les étudiants jésuites à ces petits séminaires le traitèrent d'hypocrite et de traître, essayant de le damner à cause de ses actes quand il promettait la laïcité. Cette lettre, bien qu'adressée à Jules Ferry, était une lettre ouverte. Cela signifie qu'il s'adressait à la population en général qui ne savait pas qui soutenir. Ils présentent leurs arguments en faveur d'une éducation religieuse, citant la nécessité d'une éducation morale (Stock-Morton 22).

Cette lettre, bien qu'adressée à Jules Ferry, était une lettre ouverte. Cela signifie qu'il s'adressait à la population en général qui ne savait pas qui soutenir. Ils présentent leurs arguments en faveur d'une éducation religieuse, citant la nécessité d'une éducation morale. Dans leur lettre de colère, les étudiants jésuites tirent sur des écrits historiques et bibliques pour condamner Ferry : « Et d'ailleurs, toi, le fils de l'austère Brutus, toi, l'intègre ministre aux tranquilles vertus, ferais-tu d'un vain nom de l'objet de ta poursuite ? » Premièrement, ils l'appellent Brutus, le lieutenant détesté de César qui l'a finalement trahi en le poignardant à mort. En assimilant Ferry à Brutus, ils l'appellent fondamentalement un traître de l'État. Avant la révolution, beaucoup de gens seraient d'accord. Cependant, la laïcité était plus populaire, de sorte que les jésuites n'avaient pas beaucoup de terrain sur lequel s'appuyer. Deuxièmement, ils l'accusent d'un « nom vain ». Le troisième commandement est qu'il ne faut pas utiliser le nom de Dieu en vain. Non seulement ils accusent Ferry de sédition, mais aussi de blasphème.

Cordasco, F. (1981). A brief history of education: A handbook of information on Greek, Roman, medieval, Renaissance, and modern educational practice. Totowa, NJ: Littlefield, Adams.

Cubberley, E. P. (1920). HISTORY OF EDUCATION: Educational practice and progress considered as a phase of the ... development and spread of western civilization. Houghton Mifflin.

Stock-Morton, P. (1988). Moral education for a secular society: The development of morale laïque in nineteenth century France. Albany, NY: State University of New York Press.

Zeldin, T. (1970). Conflicts in French society: Anticlericalism, education and morals in the nineteenth century. London: G. Allen and Unwin.

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